30/04/2008
Comment faire quand des rumeurs circulent sur Internet ?
Nous intervenons en tant que citoyens ayant un esprit critique, héritiers de ceux qui, comme Voltaire, se sont battus contre toute inquisition.
C'est dans cet état d'esprit que l'association « LA RUMEUR TUE » a décidé de publier l'information suivante :
CAP CONSCIENCE organise un congrès :
Spiritualités et Thérapies, quelles lois nous protègent ?
Samedi 17 mai 2008 de 14 heures à 19 heures
10, rue de la Vacquerie – 75011 PARIS
Thèmes entre autres : Comment faire quand des rumeurs circulent sur Internet ?
Quoi faire face aux fausses allégations des associations anti-sectes.
Des avocats et des juristes seront présents pour répondre à vos questions.
Ces informations sont extraites du site du CAP (Coordination des Associations et Particuliers pour la Liberté de Conscience)
Nous rappelons aux ADFI qui dénonce CAP CONSCIENCE comme un mouvement sectaire : « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre à l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi. » Cette clause est stipulée dans nos statuts.
Donc pas d'amalgame ni de mauvais esprit SVP.
Maria PAOLETTI
22:28 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : adfi, unadfi, miviludes, rumeur
6 BONNES RAISONS DE NE CAUTIONNER LE RAPPORT DE LA MIVILUDES
Voici les raisons pour lesquelles nous sommes contre la validation du rapport de la MILVILUDES
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la différence entre une secte, une philosophie, une religion, un mouvement déviant n'est pas explicite.
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Aucune étude réelle et sérieuse n’est présentée sur le nombre de familles et d’enfants embrigadés,
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Aucune statistique n’apparaît concernant les familles ou les enfants qui ont quitté ces mouvements après les interventions des associations anti-sectes.
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Le rapport ne comporte aucun bilan ou témoignage de familles touchées par ce phénomène ayant reçu des aides financières de la part de ces associations afin d'entreprendre des actions d'ordre psychologique ou pédagogique.
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Il n'est pas normal que les subventions touchées par ces associations anti-sectes soient employées aux fins des frais de justice pour des fautes commises par ces associations. (Il semble s’agir là, d’abus de bien sociaux.)
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Les auditions des personnes, ou des groupes accusés, pour s'expliquer de leurs escroqueries, manipulations, et autres crimes ne sont pas rapportées.
Conclusion : Une autre commission concernant les sectes est prévue. Il est souhaitable que d'autres associations et d'autres spécialistes de cette question soient consultés.
Pour une question d’éthique, il serait normal que les personnes soupçonnées d'appartenir à une secte ou à un mouvement déviant soient aussi entendues par la Commission Parlementaire.
Nous attirons votre attention sur le fait que ces personnes sont des citoyens comme tant d'autres : elles votent, travaillent, font des enfants, payent des impôts, donc ces personnes possèdent tous les ingrédients pour une parfaite intégration dans la société.
M. PAOLETTI
11:46 Publié dans RELIGION | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : adfi, unadfi, charline delporte, miviludes